Echange sur les technologies du web
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Les technologies du web

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Les technologies du web  Empty Les technologies du web

Mer 31 Mar - 3:30
1. Après avoir expliqué le concept technologie du web, donner la portée de cette technologie dans les domaines ci-après :
– Dans l’enseignement
– Dans les entreprises
– Dans la communication
2. Expliquer les outils du web

ASHUZA KASUMBE PASCAL, ILANGA ESSAI, OKITOKENGE MULENDA FILSTO, Steven T. Ibanda, Kasongo mwanabute, NZENGA MUNGWELA ROMAIN-MB, MukundiCeleste et aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Mer 31 Mar - 9:20
OK
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Faculté de médecine Afficher le fil d'Ariane complet / Nouvelles et Événements / Technologie et créativité = Enseignement en ligne en temps de COVID-19
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infoCOVID-19 : Dernière mise à jour – le 26 mars 2021 15 h 21
Technologie et créativité = Enseignement en ligne en temps de COVID-19
l'enseignement en lien
par Chonglu Huang
Rédactrice

La pandémie a précipité les professeurs et les étudiants dans une nouvelle réalité pédagogique. En effet, durant le semestre d’hiver 2020, l’enseignement est passé à un mode de prestation en ligne et la situation pourrait demeurer ainsi pour une période indéterminée.

Les outils d’enseignement technologiques complémentaires sont devenus essentiels lors de cette soudaine transformation. Alors, comment s’adaptent les professeurs?

La technologie renforce une approche de la ‘classe inversée’
Suite à la pandémie la technologie du web est devenue très utiles et appréciable partout au monde

ABIANDROA KULIDRI Lucien, Roland Biswese, Mungolo Nsimba Euréka, OKITOKENGE MULENDA FILSTO, Steven T. Ibanda, Mbala bulombi, Kalala et Tameka Emelemekia aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Mer 31 Mar - 9:25
D'après mes recherches sur internet sur Internet j'allais envoyer des références mais on me le forum refuse alors j'ai laissé l'entete avec des noms et des références de la ou j'ai tiré

OKITOKENGE MULENDA FILSTO et Eloge ngoy aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Mer 31 Mar - 9:26
Parmi les outils du web on a des sites Internet des forums ....

Mungolo Nsimba Euréka et Eloge ngoy aiment ce message

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ABIANDROA KULIDRI Lucien
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Mer 31 Mar - 12:00
1.La technologie du web


               La technologie du Web dans le domaine de l'enseignement donne la possibilité d'enseigner  en ligne. La visio-conférence, Les échanges entre les enseignants et les étudiants en temps réel ou différé.

               Dans le domaine de l'entreprise, il a une grande importance pour ses activités. Faciliter la communication de l'entreprise avec les monde extérieurs et la mettre en relation avec ses partenaires.


                 Dans le domaine de la communication, il facilite la communication  mette en relation des individus avec le monde entier et  grâce à ça technologies  pas besoin de se déplacer pour livrer un message.


2. Explication des outils du Web

Les outils du Web sont comme une plate-forme de services et conception de systèmes qui mettent à profit les effets des réseaux sociaux pour tirer le meilleur de ceux qui les utilisent ou pour porter plus simplement mettre à profit l'intelligence collective.

Dale dougherty
https://fr. slideshare. net

Roland Biswese, Mungolo Nsimba Euréka, Eloge ngoy, Mbala bulombi, Zamaladi idi lisa, Kasongo mwanabute, BOSUKU MATIMBI Josue et Kalala aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Mer 31 Mar - 13:40
Abiandro donne moi quelques exemples d'outils du web

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Mungolo Nsimba Euréka
Mungolo Nsimba Euréka
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Les technologies du web  Empty Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 9:17
Les technologies web sont un ensemble de protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web (généralement abrégé Web) et ses normes. Le web a été créé en 1989 comme application de partage d'informations puis est devenu une plate-forme à part entière sur laquelle sont développées régulièrement des nouvelles technologies[1]. Les bases de ces technologies sont le protocole réseau HTTP, normalisé par l'IETF, et le format de document HTML, normalisé par le World Wide Web Consortium (W3C).

Ce dernier organisme est l’organe centrale de normalisation des technologies web.
Destiné par son créateur Tim Berners-Lee, en Suisse, au CERN, à lier un document à un autre via une balise de texte renvoyant vers une autre page, selon le principe de l'hypertexte, le web est devenu l'un des protocoles d'échange les plus utilisés. Son évolution a été régulière depuis son lancement.

Bénéficiant de son support sur le réseau internet devenu populaire, le World wide web est, avec le courrier électronique, l'usage le plus courant d'Internet[2], et a été étendu bien au-delà de son usage initial. Ses URLs et URIs, destinées à identifier et localiser un document de manière unique et stable dans le temps, identifient aujourd'hui des applications avec des documents dynamiquement générés dans des langages de programmation dédiés, des applications informatiques complètes ou des concepts abstraits avec le web sémantique.

Le format HTML permet aujourd'hui de nombreux types de documents à la page web elle-même, des images, du son et de la vidéo[3], des interfaces en 3D, de la visioconférence, des outils de conceptions de plus en plus complexes. Les technologies web permettent aujourd'hui de créer des applications informatiques qui n'auraient été possibles autrefois que dans des applications natives, avec le bonus d'être naturellement des applications réseau et donc permettant à la fois un travail collaboratif aisé et d'être accessible depuis n'importe quel point d'accès à Internet. On a ainsi pu voir émerger des plates-formes d'éditions de documents collaboratives comme les wikis.

On trouvera des navigateurs web sur tout type de terminal informatique, des serveurs sans interfaces graphiques avec des navigateurs simples comme W3m aux téléphones portables et tablettes. L'interopérabilité et l'accessibilité sont ainsi des préoccupations importantes et l'omniprésence de la plate-forme en fait une cible de choix pour les développeurs.

LE WEB DANS L’ENSEIGNEMENT

Pour les enseignants, l'utilisation d'Internet favorise une autre dynamique que celle rencontrée lors d'activités plus « traditionnelles », car les élèves sont davantage acteurs. Elle accentue la collaboration, la communication, l'esprit critique et la créativité, tout en offrant un support d'actualité.

Pour les apprenants, cette technologie apporte deux avantages majeurs en terme de mode d’apprentissage : le mode synchrone(direct) et le mode asynchrone(rediffusé) , selon leur disponibilité.

LE WEB DANS LES ENTREPRISES

Le web dans ce milieu s’est avéré être un outil incontournable pendant la dure période de crise sanitaire en rendant possible le travail à distance défiant ainsi toutes les restrictions sanitaires pouvant entraîner une baisse de productivité. Aujourd’hui le  concept télétravail bat son plein grâce aux différentes plateformes comme : ZOOM, SKYPE, GOOGLE DOCS, etc...

LE WEB DANS LA COMMUNICATION

Le secteur de la communication n’a pas été épargné de l’avancée technologique le plus puissant du 21ème qui est le web, puisque il est venu non pas seulement révolutionner le secteur en apportant une visibilité et une rapidité avoisinant celle du soleil mais aussi faire de la communication une politique stratégique d’approximation .

Comme nous pouvons le constater dans la vie quotidienne une information ou un partage est plus facilement accessible dès nos jours grâce aux multiples outils de communication entre autres : Les blogs, les réseaux sociaux, les médias en ligne,etc...


MUNGOLO NSIMBA EUREKA L2IA

ABIANDROA KULIDRI Lucien, ILANGA ESSAI, Roland Biswese, Eloge ngoy, umondi_umira et Kalala aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Jeu 1 Avr - 9:41
Eureka ou as tu tiré ça ?
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ILANGA ESSAI
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Jeu 1 Avr - 10:29
Ngalamulume kalenga a écrit:Eureka ou as tu tiré ça ?

Wikipédia

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Mungolo Nsimba Euréka
Mungolo Nsimba Euréka
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Jeu 1 Avr - 10:34
Source ://fr.m.wikipedia.org/wiki/Technologies_Web

ILANGA ESSAI et Mungolo Nsimba Euréka aiment ce message

Ngalamulume kalenga
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Jeu 1 Avr - 10:41
Il fallait spécifier si non j'allais dire du plagiat

Mungolo Nsimba Euréka aime ce message

Mungolo Nsimba Euréka
Mungolo Nsimba Euréka
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Jeu 1 Avr - 11:15
J’ai essayé de lier mon apport et la source mais ça n’a pas marché
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OKITOKENGE MULENDA FILSTO
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Jeu 1 Avr - 11:30

OKITOKENGE MULENDA Filston
L2TAR


Les entreprises petites, moyennes et grandes sont reconnues comme un élément incontournable de développement (Solignac Lecompte H.B., 1993). Dans les pays riches ou en développement, elles sont un argument de poids en faveur des politiques de promotion et d’encouragement destinées à maximiser leur contribution à la création d’emplois, à la croissance économique et, par conséquent, à la lutte contre la pauvreté et aux inégalités sociales.

Lorsqu’elles jouissent d’une bonne santé et occupent une position concurrentielle favorable sur un marché, elles contribuent non seulement à la création des revenus, mais également à la redistribution du revenu national en faveur des pauvres. Ces entités économiques, dans une certaine mesure, freinent la migration des populations et facilitent ainsi la décentralisation de développement.

Toutes ces vertus reconnues aux entreprises ne sont possibles que si elles disposent des ressources matérielles, financières, humaines et informationnelles. Or l’acquisition de cette dernière et son exploitation sont parfois fille du système d’information de l’entreprise qui, de nos jours connaît une véritable mutation avec l’arrivée Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC) encore appelé Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).

Les Nouvelles Technologies ont marqué ces dernières années par l’accélération de leur rythme et l’ampleur de leur généralisation. Cette situation à laquelle s’ajoute la globalisation et la mondialisation des économies, crée autour des entreprises, un environnement économique turbulent. C. Karr (1999) reconnaît que les avantages compétitifs que procure aux entreprises la connexion à Internet, d’une part les concernent toutes, du vendeur de pizzas à General Motors, d’autre part sont immédiats. En particulier l’utilisation rationnelle d’Internet constitue un atout significatif dans la création et la gestion de petites entreprises. L’ouverture d’une boîte à lettres électronique, quasiment gratuite, est instantanée. L’installation d’un site web représente, toutes choses égales par ailleurs, une mise modeste à l’échelle des investissements courants de l’entreprise, même si ce montant est assez sensible à la nature des fonctionnalités mises en œuvre.

Sur le plan économique, le bouleversement des flux de l’information autour de l’entreprise apparaît à la fois comme une menace et une opportunité. Une firme qui gère bien cette situation, peut bénéficier d’une flexibilité et d’une capacité pouvant lui permettre de s’adapter sur son marché en assurant sa compétitivité.

Toute entreprise utilisatrice d’Internet ou de ses dérivées est placée sous le jeu d’un grand vent. Nombreuses sont les « success stories », des entreprises ayant connu un développement de leur activité à la suite de relations nouées avec de nouveaux clients locaux ou étrangers sur la toile. De façon moins spectaculaire, mais plus fréquente, l’utilisation d’Internet permet aux PME l’entretien de relations courantes commodes, rapides et peu coûteuses avec leurs fournisseurs, clients locaux et/ou étrangers et prestataires. Par conséquent, selon [Porter (1986), Jameux (1989)] il apparaît dans une volumineuse littérature de gestion comme un élément stratégique pour l’entreprise tant dans sa recherche d’efficacité organisationnelle que de compétitivité sur les marchés. Dans quelle mesure peut-on les considérer comme une source de levier de performance de l’entreprise ?

Le système d’information est aussi le moteur de l’évolution de nouveaux couples produits marchés, sur de nouveaux modes de gestion stratégiques dans un environnement concurrentiel, de plus en plus turbulent. A travers les TIC, le dirigeant de l’entreprise maîtrise l’information. Ce qui permet à l’entreprise de contrôler ses systèmes productifs, de gestion commerciale, financière, humaine et informationnelle. Dès lors, par le biais des TIC, le système d’information est de plus en plus reconnu dans la théorie du management stratégique, comme une nouvelle variable clé de compétitivité au sein des entreprises dans le court, le moyen et le long terme. Elles sont ainsi présentées comme une stratégie de sortie de crise. Les exigences de compétitivité induites par l’évolution générale de l’environnement économiques national et international, impliquent une modernisation de l’appareil informationnel des organisations afin de conférer à celles – ci non seulement une aptitude sur un marché concurrentiel, mais les rendre performantes. Comment ces instruments sont ils utilisés au sein des organisations ?

Les entreprises et leurs dirigeants se trouvent aussi dans un avenir de plus en plus confrontés à une « économie de pouvoir », dont le fonctionnement sera régi par la recherche d’une position sur le marché telle que l’entreprise soit en mesure de sauvegarder son autonomie de décision, une marge de manœuvre stratégique. Une telle position sous-entend non seulement un avantage concurrentiel à l’impact significatif sur le marché, mais également des ressources permettant la valorisation de cet avantage. Dès lors comment, ces Technologies de l’Information et de la Communication contribuent – elles à l’amélioration des performances des entreprises ?

L’objet de cette étude est de décrire l’utilisation des TIC dans les entreprises et mettre en évidence l’influence de cette utilisation sur la performance commerciale des entreprises. Notre étude comporte deux objectifs principaux : déceler et apprécier le degré d’utilisation des instruments des TIC au sein des entreprises et mettre en évidence l’existence d’une relation entre ce degré d’utilisation de ces différents instruments et la performance des entreprises

Au niveau des gestionnaires, l’étude doit permettre aux dirigeant-responsables, consommateurs actifs et potentiels, de cerner le rôle prépondérant des TIC en terme de productivité, de compétitivité et surtout de vases de ressources informationnelles importantes pour la survie, la croissance et la flexibilité de leur entité à l’ère de la globalisation et de la mondialisation. Elle permettra aux pouvoirs publics de mieux ajuster leurs actions et politiques d’aides au développement des firmes considérées comme le vecteur incontournable du bien-être. A l’instar des travaux de Raymond et al. (1994) et Torres (1998) les domaines de la littérature et de la recherche seront enrichis des résultats de cette étude qui présentent les TIC comme un avantage et une source de performance commerciale, économiques stratégiques et organisationnelle de l’entreprise.

Dans les lignes suivantes nous présentons : les TIC et la performance de l’entreprise, la méthodologie utilisée et les résultats de l’étude.

1. TIC et performance de l’entreprise
Le concept de TIC seront d’abord exposés puis, celui de la performance au sein des entreprises.

1.1. Les technologies de l’information et de la communication
Nous développons dans cette partie la genèse des TIC (1) et leur utilisation dans les entreprises (2).

La genèse des TIC
P. Musso (1999) stipule que la notion des TIC a fait son apparition il y a une vingtaine d’années. D’abord par le développement et la coexistence de trois domaines techniques : les télécommunications, l’audiovisuel et l’informatique, puis par leur réunion qui débouche sur « l’ère multimédia ». Au fur et à mesure du développement de ces trois domaines techniques et de leur imbrication croissante, une panoplie de services de plus en plus diversifiée et complexe est offerte [1]. Avec la numérisation de l’information issue du domaine de l’informatique, nous assistons à une véritable révolution dans le domaine des communications, surtout quand elle s’est étendue aux télécommunications et à l’audiovisuel. Dès lors le traitement de l’information est devenu identique, quelle que soit sa nature. Autrement dit, c’est uniquement son codage final et sa transformation par les « terminaux » appropriés (ordinateur, téléphone mobile, poste de télévision, etc.) qui rendent à l’information toute sa nature première. Ici le contact entre l’émetteur et le récepteur est établi grâce à des médias qui transmettent une ou plusieurs formes d’informations qui peuvent se présenter sous plusieurs formes : textuelles, son, image animée, etc. Associée au fait que les technologies sous – jacentes au numérique permettent de traiter, de plus en plus, une quantité croissante d’informations [2].

Ainsi, le foisonnement technologique sans pareil assisté dans l’informatique, les télécommunications et l’audiovisuel, induit de nouvelles techniques et de nouveaux concepts qui sont pour une grande part établis. Les secteurs de l’économie changent de visage, se rapprochent, dans un foisonnement transversal caractérisé d’applications innovantes dans les domaines les plus divers. C’est sans doute à cet égard que Pfeiffer (1999) estime que cette convergence de technologies et d’équipements vers des services nouveaux destinée à tous les publics définit le secteur dit Technologies de l’information et de la Communication (TIC) utilisées aussi bien personnes physiques et morales.

Utilisation des TIC dans les entreprises
L’intégration des Technologies de l’Information et de la Communication dans les entreprises, s’apprécie à travers leur système d’information et l’utilisation des outils technologiques. Armand (1992) définit le système d’information comme est un processus qui consiste à la création, à la collecte, traitement, stockage et à la communication de l’information.

Nous entendons par outil informatique, non seulement les ordinateurs qui servent à traiter les informations, mais aussi les réseaux qui les relient et permettent aux différents acteurs de coordonner leurs activités au sein de l’entreprise. Dans ce cas, nous sommes en présence d’une interconnexion de machines. Everaere (1997) stipule qu’ici, l’idée de relier est essentiellement pour la flexibilité ; car la capacité d’adaptation à des aléas imprévisibles dans un contexte d’urgence est basée sur un échange rapide d’informations. L’Internet, l’Intranet et les réseaux téléphoniques (mobile et fixe) sont utilisés comme sources d’informations et pour le courrier. J. von Burg (1999) démontre qu’aux États-Unis, 28 % des dirigeants utilisent l’Internet pour effectuer des recherches alors qu’en Allemagne et en France, les entreprises utilisent le Web pour la recherche d’informations nécessaires à la gestion. Ces instruments élargissent le marché.

L’élargissement des marchés, la diminution des cycles de vie des produits, des technologies et des avantages concurrentiels rendent les conditions d’exercice du métier d’entrepreneur chaque jour plus complexes. Mais, les TIC renforcent la pertinence du mode de management entrepreneurial qui retient les représentations du dirigeant comme l’élément moteur de la stratégie de l’entreprise. Ce mode de management est typique de l’univers des entreprises. Dans cet univers, les technologies de l’information et de la communication renforcent et améliorent le type de management des dirigeants de petites et moyennes entreprises : c’est dire qu’elles sont des vecteurs privilégiés de la nouvelle donne économique et concurrentielle. Les auteurs tels que [Benghozi et al. (2000) et Beaudouin et al. (2001)], disent que les discours sur les nouveaux modèles d’entreprises performantes associent spontanément design organisationnel et système d’information. La réussite des entreprises en termes de productivité, position concurrentielle… semble étroitement liée aux usages qu’elle font des Technologies de l’Information et de la Communication.

S. Hugues (1999) dans son étude sur : « L’e-révolution dope le modèle managerial », pense que : « par le jeu des acteurs, par la rapidité grandissante des échanges, en particulier ceux relatifs aux informations, les marchés deviennent de plus en plus larges, décloisonnés, à géométrie économique et politique variable, avec des remodelages des filières compte tenu des manœuvres d’intégration, des cessions d’activités et de l’apparition de nouveaux acteurs ». En accélérant les rythmes des changements, elles participent à l’émergence de nouveaux modèles économiques caractérisés par la nécessité d’exploiter de plus en plus rapide les avantages concurrentiels. Cette évolution a une influence directe sur le contenu des stratégies, sur le comportement de l’entrepreneur et ses compétences, sur son rôle de manager. Il en ressort que l’information est une ressource rare et comme telle, par rapport à la PME, elle est à accès difficile. Par conséquent l’obtention de l’information pertinente implique une démarche stratégique spécifique et une logique managériale adaptée à cette nouvelle donne. Dès lors, au sein d’une même organisation en tant que système complexe, plusieurs domaines, fonctions ou sous systèmes utilisent ces outils : En dotant dans les meilleurs délais et indifféremment de l’espace les services comptables et financiers, commerciaux et de ressources humaines sont dotées de bonnes informations les TIC transforment le système d’information de l’entreprise. Dans ces conditions sur le plan commercial, Peppers (1999) pense que l’entreprise doit désormais offrir à son client la même information quelque soit le lieu où il se trouve et entretenir avec lui, les relations transactionnelles. Désormais, la relation avec le client et/ou via l’Internet s’inscrit dans un contexte social tissé de relations amicales et confiantes, de cercles d’appartenance, de groupes de référence, de communautés (Bevanent 2000). Elles ont profondément métamorphosé les stratégies et les pratiques marketing.

Pirter (1985) et Kombou (1999) estiment que trois grandes stratégies génériques peuvent être envisagées pour créer et soutenir un avantage concurrentiel dans un secteur d’activité : ce sont la stratégie des coûts, la stratégie par différenciation, et la stratégie qui consiste à adopter l’une des deux premières, mais ciblée en fonction de segments spécifiques de l’activité. Or l’obtention de ces avantages concurrentiels paraît aussi être l’apanage des TIC. Ils s’inscrivent surtout dans des aspects processuels d’organisation sur les bases de règles et pratiques d’un système d’information. À cet effet, Deve et Augusto (1989) suggèrent qu’il convient de posséder et de transmettre rapidement une information autant que possible, complète, cohérente et exacte. Pour cela, il doit exister une osmose totale entre le système d’information l’entreprise et les TIC. Dès lors, l’interconnexion est propice à une réaction prompte, efficace et mesurée du décideur [3]. Terssac et Dubois (1992) déclarent que la perception du « maintenant » du marché dispense des risques croissants d’une prévision et d’une anticipation basées sur la reproduction du passé et facilite également une réaction rapide pour assurer ou réajuster les lancements de productions. Pour Kolter et Dubois (1997) les sociétés utilisent le Net pour communiquer aussi bien avec leurs employés qu’avec leurs clients et leurs fournisseurs : l’extension du réseau offre et ouvre d’attrayantes opportunités aux entreprises qui savent l’utiliser à leur profit. Ainsi les approches traditionnelles se sont appuyées presque entièrement sur des sources hiérarchiques. Le système de gestion de performance doit encourager l’utilisation de multiples sources dans tous les domaines et services (Wadamn 1994). Dans cette perspective notre première hypothèse s’articule de la manière suivante. H1 : le statut de l’utilisateur des TIC, le domaine de gestion où ils sont utilisés influencent la performance commerciale de l’entreprise.

1.2. La performance de l’entreprise
Toute recherche sur la performance des organisations doit s’appuyer sur une définition et une mesure de ce concept et/ou de ceux qui le sous-tendent ou en découlent.

Notion de performance
Bien que l’étude des facteurs déterminants de la performance ait toujours été au cœur des préoccupations de la recherche en entreprise, la connaissance scientifique à ce sujet n’est encore que très parcellaire. Cette situation s’expliquerait par le fait que, la plupart des études n’ont abordé le problème que sous un seul aspect, une seule dimension, voire deux ou trois dans des cas extrêmes, pour limiter l’ampleur de la tâche sur le plan méthodologique. La performance peut ainsi être gérée dans une perspective fonctionnelle (Vente et Marketing, Comptabilité et Finance, Production et Gestion des ressources humaines) ou processuelle (gestion de la chaîne d’approvisionnement, de l’innovation et de la communication). Onge St S. et Magna M.L. (1994) citent Lynch et Cross (1991) en ces termes : sur une vision opérationnelle, la performance permet au dirigeant d’expliquer le lien entre l’entreprise et son fonctionnement quotidien. Dans cet optique chaque fonction de la firme doit donc améliorer positivement la valeur apportée par son activité.

Sur le plan littéraire plusieurs notions sont utilisées pour définir le concept de performance. Certains auteurs l’assimilent à l’efficacité, à la capacité ou à la compétitivité, d’autres à l’efficience, au rendement, à la productivité, et d’autres, enfin lui associent des notions telles que la santé, la réussite, le succès et l’excellence.

Les dictionnaires Shorter Oxford English Dictionary, Oxford Clarendon Press, (1973) et Gallimard/CNRS, (1988) assimilent la performance comme la mise en œuvre et sa réalisation d’une action. Il s’agit de s’intéresser au processus de réalisation d’une opération et au résultat de celle-ci. On peut identifier la performance au succès. Tchankam, (2000) définit l’entreprise performante comme celle qui fait mieux que ses concurrents sur le court, moyen et le long terme, dans l’idéal d’un ensemble de paramètres définissant la performance, au minimum sur ceux jugés être les plus significatifs. Dans ces conditions, Bourguignon A. (1995) pense que la définition de la performance est corrélée à l’appréciation du marché : par t de marché, chif fre d’af faires, nombre de créances douteuses ou de plaintes de la clientèle dues à la qualité des produits.

Il apparaît ainsi qu’il est difficile d’apprivoiser le concept de performance dans une définition absolue. Sa définition est fonction de son contexte. Dans l’entreprise, elle a atteint tous les services, départements et par conséquent, tous les niveaux de responsabilité. Dès lors on parle de la performance des ressources humaines, économique, financière, technique et commerciale qui représentent la performance globale de l’entreprise sous forme agrégée.

La contribution originale des pionniers à cette dimension de la performance réside dans l’introduction et la promotion réussie des résultats intimements liés à l’activité commerciale de l’entreprise. Celle-ci doit être appréciée à sa valeur afin de permettre la prise de décisions managériales, stratégiques idoines et adéquates d’une part, et de rendre l’organisation compétitive.

E.M. Morin, M. Guidon et E. Bouliane (1996) reconnaissent qu’en termes de qualité du produit/service, on insiste sur le degré auquel le produit/service correspond aux normes des tests de qualité et aux exigences de la clientèle, le nombre de retours et le nombre de plaintes faites par la clientèle. Tous ces indicateurs obtiennent des valeurs appréciables et compétitives dans une entreprise qui jouit d’un système d’information crédible, créateur des informations pertinentes et rapides. Si tel paraît être la signification de ce concept comment le mesure t-on sur le plan commercial ?

Mesure de la performance commerciale de l’entreprise
S. St. Onge et M.L. Magna (1994) en définissant la performance comme la capacité à atteindre les objectifs ou les résultats escomptés, estiment qu’elle peut être mesurée à l’aide des outils tels que la qualité de produit-service, le délai de livraison des commandes urgentes, le niveau des coûts et prix dans l’entreprise, les parts de marché, le chiffre d’affaires et les ruptures de stocks. Ici performance fait référence à l’atteinte des objectifs ou des résultats bien que l’activité ne soit qu’un maillon d’un processus de production, de vente, d’achat etc.

Très souvent les systèmes de mesure de performance commerciale considèrent seulement les réalisations des activités. Ainsi pour une entreprise, la minimisation des coûts, l’amélioration de la qualité des produits ou services en raison des conséquences possibles (augmentation du nombre de commandes, des ventes, réduction de délai de livraison, des délais crédit client avec une augmentation des délais fournisseurs) l’amélioration du taux de rotation des stocks et la minimisation du nombre et du montant des commandes en souf france (créances douteuses, irrécupérables ou litigieuses) lui confère une performance commerciale prospère. L’activité commerciale étant considérée comme la principale porte d’entrée des flux financiers dans beaucoup d’unités économiques.

Or selon Amabile et Gadille (2003) l’usage des TIC donne des avantages concurrentiels qui peuvent s’exprimer en termes de réduction de coûts, de différentiation ou de diversification à une entreprise.

Dans le contexte de la mondialisation, le domaine des échanges marchands est devenu plus vaste et la concurrence se veut plus réactive et plus forte (Gabriel 2001). Grâce aux TIC, les entreprises clientes peuvent accéder facilement aux informations leur permettant de comparer les différents fournisseurs, bénéficier des meilleures conditions de marché en terme de qualité-prix et de variétés des produits.

En utilisant efficacement les technologies de l’information et de la communication, les entreprises peuvent réaliser des gains de productivité qui renforcent leur compétitivité et contribuent ainsi à une croissance économique durable, une condition pour la réduction de la pauvreté. Les TIC élargissent les possibilités des pays en développement de participer aux marchés internationaux. Internet transforme radicalement les modalités de production, de livraison, de vente et d’achat de biens et services. Il met en relation, par la connectivité numérique, un nombre croissant de personnes et d’entreprises, prêtes à participer à l’économie du savoir et à y contribuer. L’utilisation d’Internet permet aux acteurs relativement défavorisés par exemple, aux propriétaires de petites entreprises des pays en développement d’entrer dans l’économie mondiale, en leur donnant accès à de l’information, à des communications et à un savoir qui étaient auparavant hors de leur portée. Ces technologies accélèrent les échanges de biens et services, et l’on constate que la croissance des échanges de biens et services des TIC a été plus forte que celle de l’ensemble des échanges. En outre, les TIC sont à l’origine d’échanges dans d’autres secteurs en améliorant l’accès au marché, en élargissant le bassin de clientèle et en facilitant les formalités douanières, les transports et la logistique. C’est ainsi que notre seconde hypothèse formulée de la manière suivante : H2 ; Dans les entreprises où le degré d’utilisation des TIC est faible, la performance commerciale est faible.

2. Méthodologie du travail
Nous présentons, dans les lignes suivantes, l’échantillon de notre étude, la mesure des variables d’étude et les tests statistiques utilisés.

2.1. Échantillon de la population d’étude
Les entreprises enquêtées sont basées dans les villes de Douala et de Yaoundé. Au Cameroun, ces villes constituent les zones industrialisées avec près de 80 % des entreprises. De plus le positionnement portuaire de la ville de Douala d’une part et l’accès très rapide et facile des intrants par voies terrestre dans la ville de Yaoundé d’autre part amènent les industriels à y implanter la direction de leurs entreprises. Les firmes auprès des quelles nous avons collecté les données sont sélectionnées par convenance. En effet dans chacune de ces villes, nous avons pendant la période du 15 mars au 30 avril 2004 distribué et collecté des questionnaires dans les entreprises des zones industrielles de Bassa, Bonabéri à Douala et les zones de Fand, Ngousso et Soa à Yaoundé. Dans cet exercice nous étions aidés dans chaque ville par un de nos anciens étudiants de maîtrise option marketing ou management. Ainsi, lors du rendez vous obtenu quelques jours [4] avant auprès du Directeur général, le questionnaire était rempli en notre présence soit par le Directeur général lui-même, soit par l’un de ses collaborateurs (Directeur ou responsable commercial ou marketing, de la production, financiers ou du personnel. C’est ainsi que 115 entreprises ont été enquêtées et avons obtenu un retour de 54 exploitables donc, un taux de 47 %.

Parmi ces entreprises, on dénote les Sociétés Anonymes (33,3 %), des Sociétés à Responsabilité Limitée (18,5 %), des entreprises individuelles (40,8 %) et des sociétés en nom commandite (7,4 %).

Les répondants aux questions sont respectivement : les directeurs généraux (40,7 %), les directeurs commerciaux et/ou de marketing (33,3 %) et les directeurs financiers ou du personnel (25,9 %).

L’activité principale menée par lesdites entreprises est diversifiée. On retrouve le Commerce (31,50 %), l’Industrie (production et vente 18,53 %), le Service (Banque, transaction épistolaire, finance 11,11 %), la Pharmacie (11,11 %), l’Imprimerie, Boulangerie et Assurance (9,25 %) chacune.

D’autres caractéristiques de ces entreprises en terme de cadres, d’effectif et dotation en instruments des TIC sont illustrées dans le tableau ci-dessous.

Des entreprises interrogées, 87,04 % déclarent que leur système d’information est informatisé alors que 88,89 % utilisent la téléphonie mobile. Ces deux outils ont des modes de 4 et 10 qui justifient avec d’autres données du tableau qu’ils sont de nos jours les utilisés dans les entreprises. La lecture des modes éprouve que les autres outils tels que la télécopie et la téléphonie paraissent les moins utilisés. Ceci peut s’expliquer par l’évolution rapide que l’on observe dans le marché des TIC. Ainsi les nouveaux outils, plus performants sont sollicités par les consommateurs.

Pour ce qui est des effectifs, ils ont un minimum de 04 et un maximum de 200, avec un mode de 10. Quant aux cadres, nous retrouvons un minimum de 01 et un maximum de 85 avec un mode 01. L’âge moyen d’utilisation des TIC est de 6 ans. La plus ancienne entreprise en terme d’utilisation a 15 ans alors que la plus jeune a 2 ans. Dans les entreprises de l’étude il existe bien celles qui possèdent plus d’une fonction ou domaine de gestion et qu’un bon nombre d’entreprises utilisent les TIC soit depuis 4 ans ou 8 ans. Tous ces indicateurs démontrent le fait que les entreprises de notre échantillon d’étude sont consommatrices des TIC.

2.2. Mesure des variables d’étude
Le questionnaire avec lequel nous avons collecté les données, comporte des questions relatives aux concepts de performance commerciale, en termes de possession et d’utilisation des TC et des domaines de gestion dans lesquels elles sont utilisées. À celles-ci s’ajoutent des questions relatives à l’identification des entreprises enquêtées.

La majorité de nos questions sont de type dichotomique (oui/non). Certaines sont à échelle de trois points. D’autres sont ouvertes. Afin de vérifier la cohérence entre les réponses données par les répondants, nous avons repris certaines questions soit de manière indirecte, soit en passant de la forme fermée à ouverte. Pour la même raison, nous avons inversé l’échelle d’un indicateur de performance commerciale en occurrence « les ruptures des stocks ».

Pour mesurer la performance commerciale des individus, nous avons utilisé l’échelle à trois points. Le répondant devait pour chacun des six (6) indicateurs [5] retenus, apprécier l’évolution de la performance commerciale de son entreprise à partir de la période à laquelle les outils des TIC ont été utilisés. Il doit donc donner son opinion en terme de : « Faible », « Stable » et « Élevée ». Après le tri à plat réalisé, nous avons calculé les scores de chacun de ces individus sur l’ensemble des indicateurs de la performance commerciale. Ainsi le score théorique varie de 6 à 18 points sur l’ensemble des six indicateurs. Nous avons ensuite classé les entreprises en deux groupes : « les entreprises à performance commerciale faible » et « les entreprises à performance commerciale forte » par rapport au mode (13) de l’ensemble des scores réalisés. Notons que ce score représente la performance commerciale de la firme.

2.3. Les tests statistiques utilisés
Nous avons vérifié nos hypothèses de travail à l’aide du test de Khi-deux (?2) compte tenu de la nature de nos données (nominales) et de la taille de notre échantillon. Ce test permet de mettre en évidence la liaison entre deux variables de l’étude. Il est apprécié soit en comparant la valeur de ?2 calculé à celle lue dans la table statistique [6] ou en comparant la probabilité de ?2 calculé au seuil (?) de significativité. Ainsi, si la valeur de ?2 calculé est supérieure à celle lue ou alors sa probabilité est inférieure au seuil, on déduit l’existence d’une dépendance entre les variables mises en évidence.

Pour apprécier le degré de significativité de la liaison entre les variables, nous avons utilisé le coefficient de contingence adapté au tableau de (2x2). Une valeur proche de zéro de ce coefficient éprouve une très faible dépendance, voir une absence totale de relation entre les variables alors que une forte valeur détermine une dépendance fortement significative. Pour un tableau de contingence (2x2), sa valeur maximale est de 0,707.

3. Résultats de la recherche empirique
Après avoir présenté les motifs d’usage des TIC, ses principaux utilisateurs et leurs effets sur les relations avec les partenaires, nous terminerons cette partie par la mise en évidence des liaisons TIC et performance commerciale des entreprises enquêtées.

3.1. Les raisons d’usage, principaux utilisateurs et les effets des TIC sur les relations entreprise/partenaires
A la suite de nos enquêtes, il apparaît par ordre d’importance en terme de pourcentage de validation, que les raisons qui poussent les entreprises à utiliser les TIC sont : la rechercher des informations (63,00 %), les besoins de faire le commerce (48,1 %), la communication par E-mail (44,40 %), la communication dans l’entreprise (42,6 %), le désir d’échanger les données (34,00 %), et de faire connaître l’entreprise (33,3 %).

Ces résultats se rapprochent des ceux de von Burg (1999) pour qui, les gens utilisent le Net pour la formation, l’achat ou la vente des produits, la recherche de nouveaux produits ou couples marché-produits, l’éducation, le travail et bien d’autres. La même observation ressort des travaux de Gadill et Iribarne (2000b) qui déclarent que la messagerie est un outil relativement facile d’accès pouvant être utilisée dans toutes les entreprises et par les particuliers. Son usage entraîne un coût de communication ainsi qu’une recherche de productivité, de réactivité et d’interactivité dans les échanges. Ces mêmes auteurs, dans une autre étude (2000a), aboutissent à la même conclusion suivant laquelle les PME communiquent moins en interne qu’en externe. Ainsi, qui sont les principaux utilisateurs de ces instruments au sein de l’entreprise ?

L’Intranet est un outil fédérateur à la fois du point de vue fonctionnel et du point de vue technique. Par le biais des liens, il peut fédérer des informations de nature différente (presse, statistiques, procès verbaux, tableaux de bord), des applications hétérogènes existantes (banques de données, fichiers, messageries…) ; il les intègre dans un environnement graphique homogène, offrant ainsi aux différents collaborateurs, une source unique à partir d’un poste de travail (PC) pour tout type d’information qui peut leur être utile au quotidien.

Folacci et Lemoncini (2003) pensent que l’utilisation des TIC par des personnes ayant une responsabilité liée à la réalisation des tâches dans les PME n’a pas encore intégré l’ensemble des niveaux hiérarchique. Cette pensée corrobore les résultats de notre étude car les chefs d’entreprise ont tendance de s’approprient des Technologies de l’Information et de la Communication. En effet, des personnes interrogées, 64,8 % déclarent que les chefs utilisent le plus les instruments des TIC au sein des entreprises. Les cadres et autres employés ne les utilisent pas car les pourcentages des utilisateurs connaissent une évolution décroissante des principaux responsables ou des décideurs stratégiques aux exécutants. Les besoins semblent se créer au fur et à mesure que le dirigeant laisse entrevoir que l’Internet est perçu comme un outil favorisant potentiellement une activité accrue autour du client.

Quant aux effets, les chefs entreprises déclarent que leur relation avec les partenaires se sont nettement améliorées avec l’avènement des TIC. Ainsi, les clients (97,3 %) et les fournisseurs (94,3 %) sont les principaux partenaires qui ont bénéficié des effets issus de leur présence et de leur utilisation. Ces moyens de communication faciliteraient ou encourageraient la célérité dans les transactions commerciales aussi bien en amont qu’en aval. De tels effets peuvent avoir pour incidence, une amélioration de la performance commerciale. Nous notons aussi que les entreprises ont vu leurs relations avec les organismes de financement s’améliorer (64,7 %) alors qu’avec l’État (45,8 %) cette amélioration est en dessous de 50 %.

3.3. Les indicateurs de la performance commerciale
Les divers indicateurs de la performance commerciale sont présentés dans le tableau suivant.

À la lecture des données de ce tableau, nous dirons que pour un effectif de 54 entreprises enquêtées, 53,3 % déclarent que, leur taux de distribution des produits/services a connu une hausse. Par contre, 51,9 % estiment que leurs parts de marché ont évolué à la hausse lorsque 48,1 % d’entre elles reconnaissent que, leurs Chiffres d’Affaires et la qualité des produits/services ont connu une amélioration dans le même sens.

Tableau 1 Effectif, personnel cadre et dotation des entreprises en instruments des TIC
figure im1
nos enquêtes
Au total nous dénotons qu’un bon nombre d’indicateurs de performance commerciale a connu une amélioration à la hausse dans les entreprises enquêtées.

Les notes obtenues par l’indicateur « rupture de stock » à notre niveau est normale dans le cadre de notre étude car, nous avons voulu inverser son ordre d’appréciation en afin de mieux cerner la crédibilité et la pertinence des informations collectées au sein de l’échantillon. Dès lors les 37 % ou les 51,9 % des entreprises qui déclarent que cet indicateur est devenu faible ou stable avec l’utilisation des TIC éprouvent tout simplement une amélioration de la performance commerciale : les firmes concernées non seulement écoulent donc assez facilement et rapidement leur produits/services mais elles sont aussi approvisionnées dans les délais.

Nous présentons dans les lignes suivantes, les résultats des tests relatifs aux hypothèses du travail.

3.4. Réseau, degré d’utilisation des TIC et performance des entreprises
Il est question, pour nous d’apprécier le niveau de performance des entreprises dotées d’un réseau local ou du Net. Nous avons réalisé ces fréquences à partir des tableaux de contingence issus des tris croisés de trois variables : Avoir un réseau local, performance et degré d’utilisation puis connectée sur le net, performance et degré d’utilisation. Il découle de cet exercice que :

Pour les entreprises qui ne sont pas connectées sur le Web, les dirigeants déclarent que, lorsqu’ils utilisent souvent ou jamais les instruments des TIC, leurs activités ont une performance faible ou stable. Nous avons 87,50 % dans le cas où le Fax est utilisé rarement, 71,43 %, 55,56 %, 68,75 % respectivement pour les téléphones fixe et mobile, l’internet.
Par contre, quand elles jouissent d’une connexion, l’utilisation de ces instruments de TIC leur confère, une performance élevée au cas où l’usage de ces éléments serait régulier. En cas d’une utilisation régulière du FAX par exemple, 65 % des responsables des entreprises acceptent que leur performance connaît une hausse. C’est la même appréciation pour 58,33 %, 46,67 %, et 73, 91 % des responsables utilisateurs du téléphone fixe ou mobile et l’internet.
Le système d’information informatisé jouissant d’une connexion locale participent au levier de la performance commerciale des entreprises. Nous constatons que 59,09 % des utilisateurs du Fax, 56,00 % des utilisateurs du téléphone fixe, 46,15 % des utilisateurs du téléphone mobile et 70,00 % de l’Internet s’accordent pour dire que la performance de leur entreprise s’est améliorée suite à la connexion locale des ordinateurs de leur entreprise.
Quant aux entreprises qui ne disposent pas de réseau local, nous constatons que 66,67 % sont des utilisateurs de la Télécopie, 50,00 % des utilisateurs du téléphone fixe, 20,00 % des utilisateurs du téléphone mobile jugent la performance de leur entreprise faible ou stable. Cependant, dans ce groupe de répondants 100,00 % de ceux qui, même sans avoir une connexion interne, utilisent l’Internet déclarent une performance élevée de leur entreprise.
Tableau 2 appréciation de l’amélioration des indicateurs de performance des entreprises de l’échantillon
figure im2
nos enquêtes
Au total, nous dirons qu’une entreprise qui dispose soit d’un réseau local ou de l’Internet connaît une amélioration de sa performance qui est fonction de son degré d’utilisation. Cependant une telle situation suggère une liaison entre les TIC et le niveau de compétitivité des entreprises.

3.5. Liaison entre le degré d’utilisation et la performance
Les données du tableau 3 ci-dessous présentent les résultats des tests relatifs à la seconde hypothèse : Dans les entreprises où le degré d’utilisation des TIC est faible, la performance commerciale est faible.

L’examen du tableau 3 montre que les valeurs de ?2 associé au FAX et au téléphone fixe sont inférieures à la valeur critique du test (?2 lu = 2,71). Ce qui démontre une absence de liaison entre le niveau de performance et le degré d’utilisation de ces instruments des TIC.

Tableau 3 Performance des entreprises et degré d’utilisation des TIC
figure im3

Nos enquêtes : Dl = degré de liberté ; ?2 = Khi-deux
Par ailleurs, le ?2 relatif à l’Internet/Intranet est de 7,46 alors que celui relatif à la téléphonie mobile est de 3,375 : Il existe liaison entre la performance commerciale des entreprises et le degré d’utilisation de ces deux instruments des Technologies de l’information et de la Communication. La valeur de leurs coefficients de contingence qui est respectivement de 0,330 et de 0,243, illustre que ces liaisons sont positives et significatives.

En somme, en se rapprochant du degré d’utilisation des instruments des TIC, nous constatons que, plus un outil est utilisé par le système d’information, plus l’intensité de sa liaison avec la performance commerciale est forte. Par conséquent notre hypothèse est validée.

Tableau 4 Liaison entre le statut de l’utilisateur et la performance commerciale
figure im4
nos enquêtes ; Dl = degré de liberté ; ?2 = Khi-deux
Tableau 5 Liaison entre le domaine de gestion et la performance commerciale
figure im5
Nos enquêtes : Dl = degré de liberté ; ?2 = Khi-deux
Ces résultats corroborent ceux de Audet (2003) pour qui l’entreprise doit avoir en main les informations qui lui permettent de se préparer adéquatement. C’est par le biais des activités de veille stratégique que les informations provenant de l’environnement externe seront recueillies, partagées et interprétées, pour utilement alimenter le processus de réflexion des dirigeants. Par conséquent, le système d’information de l’entreprise qui, par les activités de veille stratégique via les TIC, semble susceptible d’avoir un impact sur la per for mance de l’entreprise puisqu’elles permettent d’obtenir les informations essentielles à son adaptation. Cependant, cette performance n’est – elle pas aussi liée au statut de l’utilisateur dans l’entreprise ?

3.6. Liaison entre le statut de l’utilisateur, le domaine de gestion et la performance commerciale
Nous avons divisé la première hypothèse de notre étude en deus sous hypothèses : La première sous hypothèse (h11) est formulée de la manière suivante : le statut de l’utilisateur des TIC influence la performance commerciale de l’entreprise.

Il ressort de ce tableau que les valeurs de ?2 calculés sont respectivement de 0,186, de 0,254 et de 1,795 pour la majorité du personnel, quelques responsables et les cadres qui utilisent les TIC. Les probabilités associées à ces valeurs sont très fortes et les coefficients de contingence sont très voisins de zéro. Donc, il n’existe pas de relation entre ces utilisateurs et la performance commerciale des entreprises. Nous relevons cependant une valeur de ?2 de 4,158 pour les chefs d’entreprise qui les utilisent. La probabilité associée à ce test est de 0,041 avec un coefficient de contingence de 0,277. Alors, la dépendance entre le statut du chef d’entreprise et la performance commerciale existe et est positivement for te.

Dans un système d’information crédible et pertinent, toutes les informations sont orientées vers le chef d’entreprise, responsable des décisions de nature stratégique. Nous pouvons dire que le chef d’entreprise utilisateur des TIC dans l’entreprise influence positivement et de manière significative la performance commerciale. Comme le déclare AUDET, (2003), dans les entreprises, plusieurs membres participent aux efforts d’information. La firme jouit ainsi d’un réseau couvrant un large spectre d’acteurs allant du monde des affaires à l’État en passant par les responsables de tous les niveaux hiérarchiques, décisionnels. Cependant, ces décisions ne doivent affecter la performance de façon significative que si elles aient été initiées, prises et appliquées par le chef, responsable des décisions stratégiques. Peut – on dire que le domaine de gestion explique aussi la performance commerciale ?

La deuxième sous hypothèse (h12) est : le domaine de gestion où les TIC sont utilisées influence la performance commerciale.

Les domaines comme la « Recherche/développement pour de nouveaux produits », « Gestion commerciale (suivi de la clientèle) » présentent des dépendances avec la performance commerciale des entreprises. Les ?2 calculés issus du test sont respectivement de 4,864, et 3,375 avec les probabilités de 0,0287 et de 0,066 respectivement. Les coefficients de contingence issus des ces tests éprouvent que ces relations sont positives et fortes.

La dépendance entre la Recherche/développement pour de nouveaux produits et la performance commerciale est très forte et significativement positive (coefficient de contingence 0,287) alors que celle de la Gestion commerciale (suivi de la clientèle) est moyenne (coefficient ce contingence 0,243. Ces résultats validés se rapprochent de ceux de MIRA, (1993) pour qui le système d’information contribue au moins, autant que la recherche, au développement de l’entreprise. La recherche-développement a besoin de s’appuyer sur le système d’information global efficace pour faire avancer l’entreprise. Dès lors d’une part, ces dépendances expriment le rôle du système d’information comme le levier stratégique des entreprises et, d’autre part la place des Technologies de l’Information et de la Communication dans l’amélioration de ce système par conséquent la performance de l’entreprise. L’absence de relation observée entre certains domaines de gestion détermine le fait qu’au sein de beaucoup de ces entreprises, les informations soient convergées vers le dirigeant principal.

Conclusion
Cette étude réalisée auprès de 54 entreprises des villes de Yaoundé et de Douala, vise à déceler et à apprécier le degré d’utilisation des instruments des TIC au sein des entreprises d’une part, et d’établir la relation entre ce degré d’utilisation et le niveau de performance desdites entreprises.

Ces entités économiques possèdent et utilisent comme instruments des TIC : les ordinateurs, la téléphonie mobile et/ou fixe et la télécopie. Plusieurs d’entre elles disposent une connexion. L’utilisation des Technologies de Information et la Communication est une réalité dans les entreprises enquêtées. Les principales raisons de cette utilisation sont, la rechercher des informations, les besoins de faire le commerce, la communication, le désir d’échanger les données, et de faire connaître l’entreprise.

La vérification de nos hypothèses de travail qui est faite au moyen du test de khi-deux et du coefficient de contingence nous a conduit aux résultats suivants :

la performance commerciale est très fortement influencée par les TIC lorsque ces derniers sont utilisés par le dirigeant ou chef d’entreprise.
cette performance dépend très fortement et positivement du degré d’utilisation des Internet, intranet et la téléphonie mobile. Plus l’information circule dans une entreprise à travers une connexion des ordinateurs, plus cette entreprise dispose d’une performance commerciale élevée. Dans de telles unités créatrices de richesses, les décideurs reçoivent et diffusent en temps réel, l’information nécessaire et pertinente à la bonne marche de toute l’organisation.
la performance commerciale est très liée et positivement à la « recherche-développement » pour de nouveaux clients ou produits et à la gestion commerciale notamment pour ce qui est du suivi de la clientèle.
Fort de ces résultats, nos hypothèses de travail sont validées : par conséquent, une bonne gestion de l’information au sein de l’entreprise est un facteur de compétitivité avec les autres entreprises dans un environnement mouvant et turbulent. Cependant, les points suivants interpellent les gestionnaires des entreprises :

Afin de bénéficier d’énormes occasions qu’of fre les Technologies de l’Information et de la Communication, les dirigeants soucieux du devenir de leurs affaires, doivent de plus en plus renforcer leurs actions dans tous les domaines de gestion de leur entreprise. Cette action doit être à la portée des cadres, des responsables des décisions tactiques et opérationnelles dans l’entreprise, afin de donner non seulement une grande quantité d’informations riches en qualité, pertinentes et fiables qui circulent aussi bien en amont qu’en aval au sein de l’entreprise comme dans son environnement extérieur. Une telle attitude vis à vis des TIC peut conférer aux entités économiques des pays en voies de développement, une performance globale (économique, financière, technique, commerciale et en ressources humaines) gage d’une compétitivité durable dans un environnement turbulent. Ainsi, en utilisant les TIC efficacement les entreprises peuvent réaliser des gains de productivité qui renforcent leur compétitivité et contribuent aussi à une croissance économique durable, une condition et un moyen de réduction de la pauvreté.

Les TIC élargissent les possibilités des pays en développement de participer aux marchés internationaux. Elles transforment radicalement les modalités de production, de livraison, de vente et d’achat de biens et services. Elles mettent en relation par la connectivité numérique, un nombre impressionnant de personnes et d’entreprises, prêtes à participer à l’économie du savoir et à y contribuer. Grâce à une accélération et un contrôle croissant des échanges, ces instruments permettent aux acteurs relativement défavorisés (les propriétaires des petites entreprises des pays en développement), d’avoir accès à l’information, à la communication et à un savoir qui étaient jadis hors de leur portée.

Notes
[1]
Nous citerons comme exemple : TV par câble et satellite, jeux vidéo, télécopie ou fax, ordinateurs portables, etc.
[2]
Dans ce cas, nous faisons référence aux fibres optiques, au processeur de rapidité croissante et supports ou mémoires de plus en plus compacts et denses.
[3]
Nous citons en guise d’exemple, le système de gestion unitaire par saisie informatique aux caisses des magasins : Dans cette opération, chaque fois qu’un article sort du magasin, il est enregistré à une caisse. La nature, la quantité, l’heure et le prix sont transmis à un ordinateur central qui analyse l’information reçue. A cet instant, la direction peut alors infléchir ses stratégies de produits, d’achat et de livraison sur la base d’un suivi constant et en temps réel.
[4]
Les adresses de 32 entreprises ont été obtenues dans les listes établies à division de la chambre de commerce de l’industrie et de l’Artisanat de ces grandes métropoles, celles des autres ont été obtenues auprès des services de renseignement desdites entreprises.
[5]
Les indicateurs retenus : Taux de distribution des produits/ser vices, rupture des stocks, chiffre d’Affaires, part de marché, qualité des produits/services et le niveau des coûts et prix.
[6]
Cette valeur de khi-deux lue est fonction du degré de liberté (DL) et du seuil de signification (a) retenu. Pour cette étude est de ? = 10 % et la valeur critique de khi-deux est de 2,71.


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Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 11:37
Admin a écrit:1. Après avoir expliqué le concept technologie du web, donner la portée de cette technologie dans les domaines ci-après :
– Dans l’enseignement
– Dans les entreprises
– Dans la communication
2. Expliquer les outils du web

Selon Wikipedia, la technologie du web est un ensemble de protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web (généralement abrégé Web) et ses normes.

Sa portée dans:

- L'ENSEIGNEMENT

L’éducation permet aux individus de construire des vies et des sociétés plus prospères et fructueuses pour atteindre la prospérité économique et le bien-être social. La technologie du web est fondamentale pour atteindre cette vision de l’avenir. Elle améliore la qualité de l’éducation de nombreuses façons. Elle ouvre des portes à une mine d’informations, de connaissances et de ressources éducatives, ce qui augmente les possibilités d’apprentissage dans et au-delà de la salle de classe. Les enseignants utilisent du matériel en ligne pour préparer les leçons, et les étudiants pour élargir leur gamme d’apprentissage. Les méthodes d’enseignement interactives, soutenues par Internet, permettent aux enseignants d’accorder plus d’attention aux besoins individuels des élèves et de soutenir apprentissage partagé.
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Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 11:44
- Dans l'entreprise :
La technologie du web constitue un outil de veille pour l'entreprise, les outils de recherche de l'information, le groupe de discussion et les sites spécialisés dans les domaines précis lui permettent et suivre l'évolution des secteurs dont dépend ses activités de maitriser les tendances technologiques et les données économiques.

·Elle sert de vitrine à l'entreprise ; a travers un site web, elle peut se faire connaitre, présenter ses produits ses services et ses activités ; les catalogues les rapports et d'autres documents officiels peuvent être publiés sur le site avant même leur édition sous forme classique.

· La technologie du web permet à une entreprise de réduire de manière considérable ses coûts de communication et les transactions.
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Serge Maembo
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Date d'inscription : 31/03/2021

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 12:07
Les technologies web sont un ensemble de protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web (généralement abrégé Web) et ses normes. Le web a été créé en 1989 comme application de partage d'informations puis est devenu une plate-forme à part entière sur laquelle sont développées régulièrement des nouvelles technologies[1]. Les bases de ces technologies sont le protocole réseau HTTP, normalisé par l'IETF, et le format de document HTML, normalisé par le World Wide Web Consortium (W3C). Ce dernier organisme est l’organe centrale de normalisation des technologies web.

Destiné par son créateur Tim Berners-Lee, en Suisse, au CERN, à lier un document à un autre via une balise de texte renvoyant vers une autre page, selon le principe de l'hypertexte, le web est devenu l'un des protocoles d'échange les plus utilisés. Son évolution a été régulière depuis son lancement. Bénéficiant de son support sur le réseau internet devenu populaire, le World wide web est, avec le courrier électronique, l'usage le plus courant d'Internet[2], et a été étendu bien au-delà de son usage initial. Ses URLs et URIs, destinées à identifier et localiser un document de manière unique et stable dans le temps, identifient aujourd'hui des applications avec des documents dynamiquement générés dans des langages de programmation dédiés, des applications informatiques complètes ou des concepts abstraits avec le web sémantique.

Le format HTML permet aujourd'hui de nombreux types de documents à la page web elle-même, des images, du son et de la vidéo[3], des interfaces en 3D, de la visioconférence, des outils de conceptions de plus en plus complexes. Les technologies web permettent aujourd'hui de créer des applications informatiques qui n'auraient été possibles autrefois que dans des applications natives, avec le bonus d'être naturellement des applications réseau et donc permettant à la fois un travail collaboratif aisé et d'être accessible depuis n'importe quel point d'accès à Internet. On a ainsi pu voir émerger des plates-formes d'éditions de documents collaboratives comme les wikis. On trouve des navigateurs web sur tout type de terminal informatique, des serveurs sans interfaces graphiques avec des navigateurs simples comme W3m aux téléphones portables et tablettes. L'interopérabilité et l'accessibilité sont ainsi des préoccupations importantes et l'omniprésence de la plate-forme en fait une cible de choix pour les développeurs.

Internet est né durant la guerre froide, en 1969, d'un projet du Département de la Défense des États-Unis, qui visait à permettre la communication entre les sites de recherche et les sites militaires des États-Unis, y compris en cas de guerre et de destruction partielle de l'infrastructure. Chaque site ayant lui-même un réseau local[4].

La technologie TCP/IP a été lancée en 1970 et adoptée pour l'Internet. Cette suite de protocoles permet de relier entre eux des réseaux, et de donner l'illusion d'un réseau unique. Les différents réseaux reliés peuvent utiliser différentes technologies de télécommunication (Ethernet, réseau commuté…) et les données transmises sur les réseaux TCP/IP peuvent se conformer à différents protocoles, tels HTTP ou FTP, selon le modèle OSI[4].

Le web a été créé en 1989 au CERN par Tim Berners-Lee et était destiné aux chercheurs en physique des particules. Le but était de faciliter l'échange d'informations entre les membres de la communauté scientifique en utilisant Internet. Il crée en 1991 le premier éditeur et navigateur web, appelé WorldWideWeb[5], ainsi que le premier serveur HTTP, CERN httpd[6], il fut réécrit en Java et maintenu par le w3c sous le nom Jigsaw à partir de 1996[6].

Le code source de l'application WorldWideWeb, initialement développé sur un système NeXTSTEP, est placé dans le domaine public pour favoriser sa diffusion et susciter des améliorations[7].

Quatre ans après le lancement par le CERN de CERN httpd, le NCSA sort en 1992 le second navigateur web : Mosaic. Ce programme permet, toujours à travers une interface graphique de consulter les documents placés sur des serveurs[4]. Les documents sont au format HTML et des images peuvent être intégrées aux pages. C'est la principale évolution par rapport à CERN HTTPd.

En 1994, sort le navigateur Netscape Navigator, développé par certains développeurs de NCSA Mosaic. Son principal avantage par rapport à Mosaic, est d'être capable d'afficher le contenu de la page avant que toutes les images soient chargées, cela le rendait particulièrement attractif à une époque ou les modems du réseau téléphonique commuté (RTC) avaient une bande passante de 1 à 3 Kio par seconde. C'est un navigateur multiplateforme, pouvant donc fonctionner sur les postes UNIX des sections informatiques des universités et centres de recherche. Il sera le navigateur le plus populaire jusqu'à être dépassé en 1997 par Microsoft Internet Explorer. Il est également à l'origine de Mozilla Firefox.

À la suite des demandes des développeurs de sites web de la création d'une norme pour les sites dynamiques, la mise en place de Common Gateway Interface (CGI) fut discutée à la 5e réunion internationale du WWWW, du 6 au 10 mai 1996 à Paris et organisée par le w3c[8].

Dans sa construction initiale, le web permet à une personne de récupérer des informations; le tri, le classement et l'extraction de ce qui est pertinent pour elle est une opération manuelle. Ceci peut parfois demander un travail conséquent: un moteur de recherche peut produire plus de 30 000 résultats. En 1994[9],[10] Tim Berners-Lee, l'inventeur du web, lance l'idée d'un web sémantique, où le tri et le classement des informations est automatisé par des techniques d'intelligence artificielle et une description du contenu des documents par des métadonnées; les métadonnées étant manipulées par les ordinateurs[11]. Ces idées ont donné naissance aujourd'hui à des projets comme le Knowledge Graph de google, Freebase, une base de données sémantique, des variantes de logiciels de type wikis comme Semantic MediaWiki, avec comme fond théorique le domaine des Ontologies formelles, et comme standards d'échanges des technologies comme RDF et OWL, standardisées par le W3C.

L'intérêt de ces projets est de pouvoir servir de base de données générique pour stocker tout type de donnée sans être contraint par un schéma préétabli comme une base de données avec un schéma prédéfini pour un certain domaine, comme la plupart des bases de données relationnelles. Une base de données sémantique permet à l'utilisateur de définir son propre schéma de stockage, et les standards permettent l'échange de données et l'établissement d'un Graphe Global Géant dans lequel chaque objet présente un identifiant sous la forme d'une URI sur laquelle on peut exprimer des informations de manière décentralisée. Les techniques d'annotation de pages web (en) ont aussi vu le jour avec des sites comme schema.org dans l'esprit du Web sémantique afin de faciliter notamment le travail des robots d'indexation en rajoutant des métadonnées leur permettant de mieux comprendre le contenu des pages web sans avoir à interpréter le langage naturel.

Web 2.0 Modifier
Le web a changé la manière des gens de communiquer, de faire du commerce et de partager des informations. À ses débuts en 1990, le web était une collection de pages rarement modifiées, puis l'usage a évolué en direction d'applications permettant de partager des photos, des vidéos, de faire du commerce et de participer à des activités de groupe; c'est Web 2.0; une évolution due autant aux changements technologiques qu'à l'augmentation de la couverture d'Internet et de l'évolution des habitudes des utilisateurs[12].

HTML5 Modifier
Le HTML5 est une autre avancée majeure[réf. nécessaire], il a l'avantage du web sémantique, ou tout peut être indexé par des automates et des contenus dynamiques multimédias ; WebGL pour la 3D, audio, vidéo, visioconférence, JSON pour les échanges de données et la recherche dynamique du client dans les bases de données du service.

* Les technologies du web dans l'enseignement

Le web 2.0 offre un terreau pour les pédagogies actives et représente un cadre authentique pour mettre en &œuvre l'approche actionnelle. Vu ses caractéristiques et ses fonctionnalités, le web 2.0 suscite l'enthousiasme des enseignants qui l'ont exploité dans leurs activités d'enseignement. Il rend possible la mise en œuvre des dispositifs aidant à dépasser certaines contraintes telles que les effectifs chargés et à éviter les entraves à l'emploi du temps et à la disponibilité des salles de classe.

Les outils web 2.0 favorisent l'interaction entre les apprenants et offrent de nouveaux matériels pédagogiques et de nouvelles activités et situations authentiques, un environnement propice au travail collaboratif. Ils augmentent les possibilités de coopération entre les apprenants et donne plus d'opportunités pour partager des connaissances, et pour collaborer en vue d'assurer un apprentissage constructif. De ce fait, les fonctionnalités des outils 2.0 soutiennent les approches participatives dans lesquelles l'apprenant est actif dans ses apprentissages.

Intégré dans l'environnement d'apprentissage, le web2.0 demeure une zone d'ombre à exploiter. Les blogs par exemple pourraient être employés pour créer, publier et travailler en groupe sur un document. Ils aideraient ainsi à améliorer la compétence rédactionnelle, à développer l'esprit de travail collaboratif et à, subséquemment, apprendre avec les autres. La vidéoconférence via un des outils 2.0 pourrait aussi servir de même comme moyen d'améliorer l'expression orale. Les wikis offrent également, vu leurs fonctionnalités, des possibilités de créer et d'éditer des contenus.

Ces outils peuvent même être à la base des projets de travail en tandem grâce au réseautage facilitant la collaboration entre les groupes distants. En fait, avec l'essor de la technologie, de nouvelles applications marquées 2.0 apparaissent, présentant de nouvelles fonctionnalités. L'enjeu majeur est consécutivement de choisir l'outil adéquat répondant aux intentions pédagogiques (Karsenti et Larose, 2001) et aux besoins des apprenants.

* Les technologies du web dans les entreprises

Le Web 2.0 est déjà bien ancré chez des dizaines de millions d'utilisateurs particuliers, qui font appel à des services tels YouTube, Flickr, Twitter, MySpace, Facebook, studiVZ et Wikipedia. Ainsi, Facebook compte 100 millions d'utilisateurs dans le monde, entre 2 000 et 3 000 photos sont chargées chaque minute sur Flickr et des centaines de milliers de vidéos sont postées chaque jour sur YouTube.

Le concept clé du Web 2.0 : des communautés qui ne sont pas les opérateurs des sites Internet et de leur technologie, mais des utilisateurs qui créent et modifient le contenu du Web 2.0 - les opérateurs des sites Internet se contentant de fournir une infrastructure adaptée. Cela signifie que l'élément technique le plus indispensable au Web 2.0 est la disponibilité constante et mondiale de l'accès Internet à haut débit.

Les entreprises commencent à prendre goût au changement de rythme induit par le Web 2.0 Elles font le parallèle entre certains aspects de l'interaction du Web 2.0 et la concrétisation de leurs objectifs et de leurs missions - l'utilisation d'échanges informels et de blogs, par exemple, où des solutions sont proposées et des projets approuvés.

Le concept de communauté virtuelle ne se limite donc pas aux internautes particuliers, mais s'applique également aux entreprises et aux agences quelles qu'elles soient. Les employés, les clients et les partenaires d'une entreprise peuvent être considérés comme une sorte de communauté dont les communications peuvent être facilitées par le Web 2.0.

Pour les entreprises, les avantages de ces nouveaux canaux et de ces nouvelles pratiques sont faciles à cerner. La communication devient immédiate et plus flexible. Le logiciel Web 2.0 est fourni à la demande - plus besoin de fournir des applications de niche et d'assurer leur support. Les correctifs et les mises à jour des logiciels sont développés et implémentés rapidement, accélérant ainsi les progrès. Avant tout, le Web 2.0 est omniprésent : où qu'il se trouve sur la planète, chacun peut aisément utiliser un périphérique connecté à l'Internet pour accéder à la plate-forme de son choix et à son contenu personnel.

Un potentiel indéniable

Pour les entreprises désirant expérimenter le Web 2.0 à des fins professionnelles, de nombreux éléments favorables peuvent justifier leur prise de position :

- Comme de nombreux processus d'entreprises recourent à l'informatique, les communautés professionnelles d'aujourd'hui (par exemple les employés, les clients et les partenaires commerciaux) sont souvent définies sur une base virtuelle - beaucoup de groupes de travail ou de groupes de projet se connaissent uniquement via la toile ou travaillent ensemble exclusivement en ligne.

- Les contenus spécifiques à l'entreprise, les documents, les informations et les rapports sont généralement disponibles en format numérique et facilement partagés par le biais du Web 2.0.

- La globalisation entraînant un éparpillement géographique des communautés professionnelles, les formes traditionnelles de communication telles les visites chez le client ou les réunions du personnel deviennent superflues.

- Les travailleurs du savoir peuvent appliquer leur connaissance personnelle du Web 2.0 sur leur lieu de travail et souhaitent pouvoir communiquer avec leurs clients et leurs collègues aussi facilement qu'ils le font avec les membres de leurs communautés personnelles.
C'est pour cela que des serveurs professionnels spécifiques ont été créés sur d'innombrables plates-formes Web 2.0 - ainsi, Facebook gère déjà plus de 2 000 réseaux d'entreprise.

Un produit adapté ?

Les spécialistes de l'informatique d'entreprise sont partagés sur le sujet. D'un côté, le potentiel du Web 2.0 pour les communications est indéniable en termes de rapidité, de flexibilité, d'évolutivité et d'efficacité ; de l'autre, les structures et les pratiques du Web 2.0 ne sont pas adaptées aux besoins des entreprises en matière de sécurité, de fiabilité, d'intégrité des données et d'infrastructure. Les applications du Web 2.0 ne sont pas en mesure de répondre totalement aux exigences croissantes de gouvernance et de compatibilité imposées aux entreprises d'aujourd'hui.

- Qualité de service : problème de l'accès aux heures de pointe sur des sites Internet initialement conçus pour des utilisateurs privés et qui, par essence, ne garantissent pas la qualité du service.

- Sécurité : la sécurité et la confidentialité des outils utilisés par les utilisateurs du Web 2.0 ne sont pas conformes aux standards professionnels, les plates-formes du Web 2.0 souffrant régulièrement de problèmes de sécurité et de perte de données. Si les données personnelles sont fréquemment malmenées par les internautes, les entreprises doivent protéger non seulement leurs propres données, mais aussi celles de leurs employés et de leurs partenaires commerciaux, toute mauvaise manipulation pouvant entraîner des litiges.

- Conformité : dans cet environnement, les applications du Web 2.0 non contrôlées posent un problème particulier aux entreprises. Ainsi, un employé qui écrit un blog au nom de son entreprise peut, à son insu, enfreindre des normes de confidentialité ou de règlementation.

- Infrastructure : un défi majeur pour les entreprises consiste à incorporer les applications Web 2.0 aux infrastructures, applications et bases de données utilisées pour leurs communications.

Il ne faut pas oublier que le Web 2.0 a été conçu pour des communications privées - après tout, vous n'avez pas besoin de vous conformer aux lois sur la transparence quand vous partagez vos photos de vacances sur la toile. Si un site Internet n'est pas disponible pendant une demi-heure, c'est embêtant, mais, le Web 2.0 doit son succès actuel au fait que ces contraintes n'étaient jusqu'à présent pas majeures.

En conclusion

Le Web 2.0 pour entreprises doit fournir une plate-forme de communication aux utilisateurs professionnels, alliant le potentiel indéniable du Web 2.0 aux normes professionnelles. Au final, le fait d'utiliser la logique, les méthodes et les technologies du Web 2.0 pour les communications d'entreprise sera un compromis entre deux besoins fondamentaux : la souplesse et l'ouverture du Web 2.0 d'une part, la sécurité et la fiabilité des applications professionnelles conventionnelles de l'autre. La demande est potentiellement immense et les premières solutions déjà en place prouvent qu'une application Web 2.0 d'entreprise peut fournir des niveaux de créativité et de productivité inédits.

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NSOMONE ABELE Aaron
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Les technologies du web  Empty t.p de séminaire informatique

Jeu 1 Avr - 13:14

T.p effectué par :NSOMONE ABELE AARON ,PROMOTION : L2/TAR

Explication sur le concept technologie du web

Les technologies web sont un ensemble de règles ou protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web et ses normes;
Les bases de ces technologies sont le protocole réseau HTTP, normalisé par l'IETF, et le format de document HTML, normalisé par le World Wide Web Consortium (W3C). Ce dernier organisme est l'organe centrale de normalisation des technologies web.

Voici quelqies organismes qui veille à la compatibilité de différentes technologies du web
W3C World Wide Web Consortium : Le World Wide Web Consortium, abrégé par le sigle W3C, est un organisme de standardisation à but non lucratif, fondé en octobre 1994 chargé de promouvoir la compatibilité des technologies du World Wide Web telles que HTML5, HTML, XHTML, XML, RDF, SPARQL, CSS, XSL, PNG, SVG et SOAP.
Enfin les langages de programmation pour développer une application Web sont entre autres:
*Javascript.
*PHP.
*Python.
*Ruby.

La portée de cette technologie dans les domains ci-après :
#Dans l'enseignement
En adoptant une posture d'apprenant, le professionnel de l'enseignement démontre à ses élèves l'importance d'être ouvert aux nouvelles possibilités. Lâcher prise et se propulser à la découverte de nouvelles technologies en collaboration avec tous les élèves, la technologie du web est très importante dans le domaine de l'enseignement pourquoi disond -nous ce là ; nous sommes tous victime de la pendemie de la covid19 qui a perturbé l'enseignement pour lutter contre l'incubation du virus on avait annuler tout rassemblement pour notre cas ce dans les écoles . Néanmoins avec la technologie du web avec sa magie de conception des applications web , les écoliers ou apprenants peuvent rester chez sois est se connecter de là où il se retrouve avec le monde virtuel c'est vraiment très impressionnant À titre d'exemple nous l'expérimentons avec le cours de séminaire iinformatique que nous suivons à distances.
#Dans les entreprises
les entreprises peuvent réaliser des gains de productivité qui renforcent leur compétitivité et contribuent ainsi à une croissance économique durable, une condition pour la réduction de la pauvreté, les entreprises utilise la technologie du web pour rendre leurs services toujours disponibles avec une bonne opérabilité et mobilité par exemple si nous prenons l'exemple d'une entreprise qui oeuvre dans le domaine De la maintenance grâce à la technologie du web , elles ont la possibilité de faire le dépannage à distances en utilisant leurs applications web par exemple; nous pouvons citer l'application teamviwer etc.. S'assure le dépannage à distance aussi.
#Dans la communication

Nous savons bien que depuis le temps jadis l'homme avait le soucis de vivre ensemble, se rapprocher ou se communiquer , confert l'histoire de tour de Babel Dans la bible.
Les innovateurs nous ont défilé pas mal de générations de matériaux pour s'assurer que les hommes se communique , nous avons immigré du système analogique en numérique ; certe avec la technologie du web l'homme ne peut plus être une île ;grâce cette dernière la communication est faite en un clin d'œil avec des nombreuses applications web , nous avons par exemple les applications du média sociaux et réseau sociaux juste pour interconnecté à les entités à distance avec le monde virtuel.

HTTPS://wikipedia/fr.web.org

Explication sur les outils du web

Les outils d'analyse de site web (ou outil de web analytique ou analytics) servent à vérifier le comportement des visiteurs sur un site Internet.

Les outils web vous permettent de partager votre analyse avec d’autres membres de votre portail ArcGIS Enterprise.
Un outil web peut contenir un ou plusieurs outils qui utilisent les données en entrée saisies dans une application client, les traitent et renvoient la sortie sous la forme d’entités, de cartes, de rapports ou de fichiers. Ces outils sont d'abord créés et exécutés dans ArcGIS Pro, généralement en tant que outils de script ou de modèle personnalisés, avant d'être partagés sur le portail. Comme un outil web peut référencer n'importe quel outil de géotraitement, les possibilités les concernant sont infinies.

Exemples d'outils d'analyse de sites Web
#Google Analytics.
#Eanalytics.
#Piwik.
#Open Web Analytics.

Https://pro argis.com
Https:// wikipédia/ fr .outils_web


Dernière édition par NSOMONE ABELE Aaron le Jeu 1 Avr - 13:44, édité 1 fois

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SWEDI KANGAMINA
Messages : 1
Date d'inscription : 31/03/2021

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 13:40
1. Le concept technologie web
Les technologies web sont un ensemble de protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web (généralement abrégé Web) et ses normes. Le web a été créé en 1989 comme application de partage d'informations puis est devenu une plate-forme à part entière sur laquelle sont développées régulièrement des nouvelles technologies1 Les bases de ces technologies sont le protocole réseau HTTP, normalisé par l'IETF, et le format de document HTML, normalisé par le World Wide Web Consortium (W3C). Ce dernier organisme est l’organe central de normalisation des technologies web.
Destiné par son créateur Tim Berners-Lee, en Suisse, au CERN, à lier un document à un autre via une balise de texte renvoyant vers une autre page, selon le principe de l'hypertexte, le web est devenu l'un des protocoles d'échange les plus utilisés. Son évolution a été régulière depuis son lancement. Bénéficiant de son support sur le réseau internet devenu populaire, le World wide web est, avec le courrier électronique, l'usage le plus courant d'Internet2, et a été étendu bien au-delà de son usage initial. Ses URLs et URIs, destinées à identifier et localiser un document de manière unique et stable dans le temps, identifient aujourd'hui des applications avec des documents dynamiquement générés dans des langages de programmation dédiés, des applications informatiques complètes ou des concepts abstraits avec le web sémantique.
Le format HTML permet aujourd'hui de nombreux types de documents à la page web elle-même, des images, du son et de la vidéo3, des interfaces en 3D, de la visioconférence, des outils de conceptions de plus en plus complexes. Les technologies web permettent aujourd'hui de créer des applications informatiques qui n'auraient été possibles autrefois que dans des applications natives, avec le bonus d'être naturellement des applications réseau et donc permettant à la fois un travail collaboratif aisé et d'être accessible depuis n'importe quel point d'accès à Internet. On a ainsi pu voir émerger des plates-formes d'éditions de documents collaboratives comme les wikis. On trouve des navigateurs web sur tout type de terminal informatique, des serveurs sans interfaces graphiques avec des navigateurs simples comme W3m aux téléphones portables et tablettes. L'interopérabilité et l'accessibilité sont ainsi des préoccupations importantes et l'omniprésence de la plate-forme en fait une cible de choix pour les développeurs.

2. Technologie web par rapport à la communication

Les nouvelles technologies permettent d’établir une nouvelle forme de communication avec les clients, que ce soit sur une base individuelle ou collective. La clientèle maîtrise de plus en plus ces outils et les utilise davantage. Quant aux jeunes, ils les ont évidemment intégrés à leur mode de vie. « Il y a dix ans, nous ne communiquions presque jamais avec nos clients à l’aide des nouvelles technologies, mentionne Léon Lemoine, planificateur financier indépendant à Gestion Ethik. Aujourd’hui, j’utilise ces méthodes avec 20 % de mes clients. Dans cinq ans, il se pourrait que je communique ainsi avec plus de la moitié d’entre eux. Mes clients actuels s’y intéressent de plus en plus. Quant à mes nouveaux clients, je leur propose systématiquement ce mode virtuel de communication. L’accueil est très favorable dans la plupart des cas. »
Pour Michel Dumais, journaliste spécialisé dans ce domaine, les technologies améliorent la productivité du conseiller, mais aussi son rapport avec le client. « Nous connaissons tous l’adage : les paroles s’envolent, mais les écrits restent. Si le client oublie l’information obtenue, il peut consulter le courriel reçu. Sinon, il doit rappeler son conseiller . »
« Aujourd’hui, mentionne Léon Lemoine, je propose à mes nouveaux clients, dès le premier contact, de communiquer avec eux par courriel. Déjà, 80 % d’entre eux l’acceptent. Avec les autres, j’utilise le téléphone classique, Skype ou les rencontres en personne . »
La vidéoconférence, sécuritaire ?
Le logiciel Skype offre le service de vidéoconférence. Cette possibilité s’accroît au fur et à mesure que les consommateurs disposent d’une caméra Web sur leur ordinateur. « Dans ce cas, précise Michel Dumais, les interlocuteurs discutent comme en face-à-face, les deux personnes se voient. » Ce logiciel permet de contacter un client éloigné sans payer de frais d’interurbains. On peut imaginer que dans dix ans, les lignes 1-800 seront désuètes pour les conseillers. « Il devient beaucoup plus facile pour moi d’accepter un client qui m’a été référé, même s’il habite à Rimouski ou à Rouyn », souligne le planificateur financier du Groupe Ethik. En ce sens, les frontières de nos territoires s’élargissent.
Le fonctionnement de Skype est assez simple, et l’utilisation en est peu coûteuse pour les appels d’ordinateur ou de téléphone intelligent à téléphone fixe, voire gratuite pour les appels entre ordinateurs. « Les interlocuteurs peuvent même échanger des documents par l’intermédiaire de ce service pendant leur conversation », signale Michel Dumais.
Aussi pratique qu’il soit, Skype se bute à la limite d’utiliser des réseaux non sécurisés. « Pour l’envoi de documents confidentiels au client, précise Léon Lemoine, j’utilise Mail it safe. Le document est encrypté et le client doit entrer un code pour y accéder. La réponse fonctionne selon le même principe, avec la possibilité d’intégrer une pièce jointe. » Ce service coûte 195 $ par année.

L’envoi électronique sécurisé devient de moins en moins l’apanage des grandes institutions financières. D’autres outils permettent aux conseillers indépendants d’offrir à leurs clients un accès direct et confidentiel à leur dossier. « Peak et Lafond disposent de leur propre serveur sécurisé auquel les clients accèdent gratuitement pour consulter leur dossier, mentionne Léon Lemoine. Ces firmes offrent cet accès en facturant 25 $ par mois aux conseillers. »
L’efficacité et la convivialité
L’efficacité dans les relations avec les clients représente l’un des avantages des nouvelles technologies. « Quand notre carnet de clients contient 300 noms, voire 1 000 ou 2 000, mentionne Léon Lemoine, il devient impossible de tous les rencontrer physiquement, chaque année. Je reçois beaucoup de gens au bureau. Or, je ne peux limiter la rencontre à dix minutes. Skype ou le courriel permettent d’aller directement au but tout en offrant un bon service. Cela nous laisse plus de temps pour les gens qui ont davantage besoin de nous en personne. »
L’utilisation du courriel incite-t-elle la clientèle à exiger des délais de réponse plus courts ? « Je n’ai pas ressenti de pression particulière de mes clients, répond Léon Lemoine. Ils savent que je ne travaille pas le soir ni les fins de semaine. Par contre, en cas d’urgence, ils peuvent me joindre par cellulaire. Ils respectent mon souci de conciliation travail-famille. Je tiens à passer du temps avec mes enfants. »
« Les gens s’attendent à une réponse relativement rapide, observe Carl-Frédéric De Celles, président et conseiller stratégique chez iXmedia, une entreprise de Québec qui offre des consultations dans la mise en œuvre de solutions interactives. Dans le cyberespace, trois jours, c’est très long. »
Pour Léon Lemoine, le meilleur des mondes réside dans l’équilibre entre les rencontres directes sur place et l’utilisation des technologies. « Les conseillers apprécient les relations humaines. Si ce n’est pas le cas, ils ne font pas un travail qui leur convient. De même, je ne pourrais pas travailler à cœur de semaine derrière mon ordinateur. Je ne pourrais pas toujours être sur la route, mais j’apprécie beaucoup les journées où je voyage pour rencontrer des clients. Le téléphone intelligent comme le Blackberry constitue alors un outil pratique entre deux rendez-vous, plus commode que l’ordinateur portable. »

3. Les outils du web

a) HTML
Pour la représentation sémantique des documents, un langage à balise dans lequel des portions du document sont délimitées entre des balises comme <body> pour le marqueur de début ou </body> pour marquer le corps du document ou <p> pour marquer le début d'un paragraphe. HTML, outre les dispositions graphiques, disposent de balises permettant de définir des formulaires web avec un ensemble de Widgets utilisé en conjonction avec la méthode POST ou la méthode GET du protocole HTTP.
b) CSS
Les styles CSS, pour feuilles de style en cascade, permettent de définir l’aspect d'une page et de ses éléments par un ensemble de propriétés (position, taille, couleurs, bordures, polices, visibilité…), en fonction de certains paramètres comme la taille ou la nature du support associé, ou de l'état de ces éléments, si la souris est positionnée sur un élément il est par exemple possible de changer son aspect. Par exemple à l'impression d'une page web il est possible de définir un style qui permet de cacher les éléments de navigation inutiles sur papiers.
c) DOM
En interne ces documents HTML sont traduits par le navigateur en un arbre DOM dans lequel les nœuds représentent les balises ou leurs attributs et les styles CSS qui leur sont associés. À chaque nœud de l’arbre est associé un certain nombre d'événements qui permettent, grâce à la programmation événementielle, de définir de véritables interfaces RIA.
d) JavaScript (ou ECMAScript)
Le langage de programmation implémenté pour les aspects dynamiques d'une page ou d'une application Web. Dans un document HTML, il est possible de définir des fonctions associé aux évènements DOM (en), et ainsi de modifier l’apparence de l'interface (DHTML), d'ajouter de nouveaux éléments à la page, de valider les données de formulaires, de faire des requêtes asynchrone à d'autres serveurs grâce aux technologies AJAX, ou encore de dessiner sur un canevas HTML. D'autres langages aujourd'hui marginaux permettent aussi de manipuler l’arbre DOM, comme JScript ou VBScript.
e) Greffons
Les navigateurs Web incluent des possibilités d'extensions sous la forme de greffon leur permettant notamment d'afficher des documents de types différents de ceux prévus par les standards du web ; par exemple les documents pdf, notamment avec le populaire plug-in inclus dans Acrobat Reader, ou Adobe Flash Player pour créer des applications dynamiques et multimédias comme des jeux vidéo ou des forums de discussion par Webcam, de nombreuses Applet Java qui ont été populaires avant les années 2000, en utilisant des interfaces de programmation comme Netscape Server Application Programming Interface (en). Ces extensions tendent à être remplacées par technologies natives du navigateur comme HTML5 qui visent entre autres à étendre les possibilités multimédias du navigateur sans avoir à installer un programme externe.

4. Le web pour les entreprises

Pour beaucoup d’entreprises, avoir un site web est essentiel et relève d’une logique commerciale évidente. À titre d’exemple, lors du dernier Superbowl avez-vous remarqué la quantité de publicités TV pour des services et produits vendus uniquement en ligne (GoDaddy, eSurance, Wix.com, Microsoft, etc.), ainsi que la mise en avant des adresses web et des médias sociaux? Le web est un outil de communication désormais primordial. Toutefois il est important de déterminer l’utilité d’un site web et surtout, s’en servir de la bonne façon.
À quoi sert un site web pour une entreprise?
• C’est votre vitrine sur le monde, votre carte de visite.
• C’est un excellent point de contact pour le service à la clientèle.
• C’est un puissant outil de ventes qui permet de rester compétitif.
• C’est un outil de diffusion gratuit pour vos informations, actualités et promotion.








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OSONGO NGONGO ANTOINE
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Les technologies du web  Empty Réponse aux questions par OSONGO NGONGO

Jeu 1 Avr - 14:29
Les technologies web:

sont un ensemble de protocoles et spécifications qui composent et sont utilisés par le World Wide Web (généralement abrégé Web) et ses normes.

Les outils technologiques modernes d'enseignement favorisent un apprentissage individualisé et plus adapté au rythme de chaque élève ou étudiants. Celui-ci a la possibilité de recommencer un grand nombre de fois chaque exercice, de revenir sur une notion mal comprise et il n'est plus prisonnier du rythme global de la classe.

Un potentiel indéniable

Pour les entreprises désirant expérimenter le Web à des fins professionnelles, de nombreux éléments favorables peuvent justifier leur prise de position :

- Comme de nombreux processus d'entreprises recourent à l'informatique, les communautés professionnelles d'aujourd'hui (par exemple les employés, les clients et les partenaires commerciaux) sont souvent définies sur une base virtuelle - beaucoup de groupes de travail ou de groupes de projet se connaissent uniquement via la toile ou travaillent ensemble exclusivement en ligne.

- Les contenus spécifiques à l'entreprise, les documents, les informations et les rapports sont généralement disponibles en format numérique et facilement partagés par le biais du Web

- La globalisation entraînant un éparpillement géographique des communautés professionnelles, les formes traditionnelles de communication telles les visites chez le client ou les réunions du personnel deviennent superflues.

- Les travailleurs du savoir peuvent appliquer leur connaissance personnelle du Web sur leur lieu de travail et souhaitent pouvoir communiquer avec leurs clients et leurs collègues aussi facilement qu'ils le font avec les membres de leurs communautés personnelles.
C'est pour cela que des serveurs professionnels spécifiques ont été créés sur d'innombrables plates-formes Web
- ainsi, Facebook gère déjà plus de 2 000 réseaux d'entreprise.

Un produit adapté ?

Les spécialistes de l'informatique d'entreprise sont partagés sur le sujet.

- Qualité de service : problème de l'accès aux heures de pointe sur des sites Internet initialement conçus pour des utilisateurs privés et qui, par essence, ne garantissent pas la qualité du service.

- Sécurité : la sécurité et la confidentialité des outils utilisés par les utilisateurs du Web ne sont pas conformes aux standards professionnels, les plates-formes du Web souffrant régulièrement de problèmes de sécurité et de perte de données. Si les données personnelles sont fréquemment malmenées par les internautes, les entreprises doivent protéger non seulement leurs propres données, mais aussi celles de leurs employés et de leurs partenaires commerciaux, toute mauvaise manipulation pouvant entraîner des litiges.

- Conformité : dans cet environnement, les applications du Web non contrôlées posent un problème particulier aux entreprises. Ainsi, un employé qui écrit un blog au nom de son entreprise peut, à son insu, enfreindre des normes de confidentialité ou de règlementation.

- Infrastructure : un défi majeur pour les entreprises consiste à incorporer les applications Web aux infrastructures, applications et bases de données utilisées pour leurs communication

En conclusion

Le Web pour entreprises doit fournir une plate-forme de communication aux utilisateurs professionnels, alliant le potentiel indéniable du Web aux normes professionnelles. Au final, le fait d'utiliser la logique, les méthodes et les technologies du Web pour les communications d'entreprise sera un compromis entre deux besoins fondamentaux : la souplesse et l'ouverture du Web d'une part, la sécurité et la fiabilité des applications professionnelles conventionnelles de l'autre. La demande est potentiellement immense et les premières solutions déjà en place prouvent qu'une application Web d'entreprise peut fournir des niveaux de créativité et de productivité inédits

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OSONGO NGONGO ANTOINE
Messages : 18
Date d'inscription : 01/04/2021

Les technologies du web  Empty par OSONGO NGONGO Antoine

Jeu 1 Avr - 16:10
Réponse n°2

20 outils webs indispensables


Avoir les bons outils en tant que développeur va te faire gagner un temps fou sur tout. Que ce soit pour produire du code, vérifier de la donnée ou valider des commandes et des configurations, ça devient vite indispensable. Je te dévoile mon dossier favoris, j’ai mis plusieurs années à construire cette liste !



1 – DevHints.io
Impossible que je retienne les syntaxes et snippets des outils et langages que j’utilise. D’ailleurs, ça sert à rien puisque c’est pas ça l’important. L’important est de retenir les concepts, pas les détails.

Pour les détails, les cheatsheets sont là pour ça, et DevHints c’est la mine d’or.

Tu peux penser à n’importe quels outils langages ou frameworks utilisés par les développeurs, tu trouveras le cheatsheet sur ce site. En quelques clics tu as accès tout et c’est facilement imprimable. Un must pour aider la mémoire !



2 – Learn X in Y minutes
Learn X in Y minutes est le genre de site fou qu’il faut voir pour le croire.

Tous les langages possibles, expliqués en une page, dans presque toutes les langues, via des exemples concrets de code. Des langages plus que standards comme C++ aux langages infernaux comme le LOLCODE tu trouveras de tout.



Il diffère grandement avec le premier car ici chaque langages est expliqué comme des cours. Il ne s’agit pas de se rafraichir la mémoire (cheatsheet) mais bien d’apprendre rapidement les bases d’un nouveau langage.



3 – Regex101
Les Regex ont arrêté d’être un problème quand j’ai découvert Regex101.

Avant la découverte de cet outil, la création ou la modification d’une Regex complexe était fastidieux. Je devais d’abord me souvenir de chaque syntaxe et détail puis je devais tester longuement ma solution pour la faire fonctionner comme je voulais.

Aujourd’hui, je vais sur cet outil, ça se fait pas à pas avec les explications. Tous les tests sont fait instantanément à chaque modification. Pour en décoder une, je copie/colle et j’ai toute l’explication. L’outil m’accompagne et ça me fait gagner un temps absurde. UN MUST HAVE !



4 – JSON Editor Online
Quand je bosse avec du JSON, je finis fréquemment par dégainer JsonEditorOnline.

Ça me sert déjà à visualiser clairement ma donnée via des nodes. Mais surtout ça me permet de faire des diffs entre plusieurs JSON. Si comme moi tu travailles beaucoup avec des APIs, tu te retrouves fréquemment à devoir comparer de la donnée.



Avant je le faisais en regardant les JSON les uns après les autres. C’était pas rapide et ça pouvait créer des erreurs. Depuis que j’utilise cet outil, plus possible de se tromper et je gagne beaucoup de temps !



5 – CodeSandbox
Mon éditeur de code en ligne préféré que j’utilise tout le temps est Codesandbox.

Un éditeur de code bacs à sable gratuits, instantanés et collaboratifs pour tous tes besoins ! C’est vraiment rapide et tu peux hoster ce que tu veux comme petite app statique.

Je le préfère à CodePen parce que je peux hoster des images sans payer et j’ai plus de choix de technologies et de templates. Parfait pour prototyper mes idées vite fait !



6 – Cloudflare Speed Test
Avec la pandémie, ma connexion internet est devenue encore plus importante qu’avant. S’il y a une coupure ou une baisse de réseau, je veux le savoir immédiatement.

Heureusement, Cloudflare a fait une page d’analyse de ta connexion dans ses moindres détails.



En un clic, ça te dit tout sur la situation actuelle de ta connexion. Pratique pour savoir ce qui se passe quand ton call lag ou quand plus rien fonctionne !



7 – Excalidraw
Avant de coder un problème compliqué, il faut que je fasse un schéma. Crois-en mon expérience, y’a rien qui te fera plus gagner du temps que de schématiser tes idées avant de coder.

La plupart du temps, c’est papier/crayon. Sinon, c’est Excalidraw.

Excalidraw c’est un tableau blanc qui te permet de facilement dessiner ton plan comme si c’était fait à la main ! Une page blanche, de quoi faire des schémas et les enregistrer. Simple, rapide, propre, gratuit, incroyable. Un must.



8 – BundlePhobia
Quand je trouve un package NPM qui pourrait m’aider, il passe tout de suite par BundlePhobia.

Cette petite application web me permet, en un clic, de connaitre le prix en taille et en temps du package. Ça me permet aussi de voir combien de dépendances sont liées.

Ça me permet de prendre décision à savoir si ca vaut le coup d’introduire cette nouvelle dépendances dans mon projet. Parfois ça me permet de faire le choix entre deux packages qui font la même chose. Et quoi qu’il arrive à la fin c’est mon application qui est gagnante !



9 – Semver Check
J’utilise fréquemment Semver check pour contrôler les versions NPM de mes projets.

Ça me permet d’être sûr que certaines contraintes de versions vont bien se comporter comme je veux. C’est plus un outil pour vérifier que je ne vais pas faire de bêtise. Mais c’est très utile pour valider rapidement une version.



Il m’est arrivé de me retrouver avec des versions de package non désirées avant d’utiliser ça. Plus possible de se tromper avec ça. Hyper pratique !



10 – CodeElf
Si t’es un dev ça veut dire que tu passes la moitié de ton temps à choisir des noms de variables et de fonctions. Cet outil va t’aider.

Codelf est conçu pour te faire gagner du temps sur la réflexion du nommage!

Ça fait instantanément une recherche sur Github, GitLab et Bitbucket pour voir si ton idée de nom est populaire ! Il y a une plus grande chance que ton idée soit bonne si elle est déjà utilisée par des milliers de développeurs avant toi.



Incroyable mais vrai
Il est possible de soutenir ce blog tout en étant stylé dans la vraie vie ! Pour ce faire, rien de plus simple, un petit tour nonchalant sur la boutique officielle et le tour est joué.

Qui veut des fringues d’excellente qualité avec un message clair dessus ?






11 – Htaccess Tester
J’ai déjà cassé des sites en entier en changeant le htaccess avec beaucoup trop de confiance.

En utilisant htaccess tester ça ne risque plus d’arriver !



Ce petit outil permet de connaitre exactement le comportement de ton htaccess avant de le pousser. Plus besoin d’angoisser au moment de pousser, tu es déjà sûr que ton site ne va pas imploser et que les redirections vont être correctes. Une seule utilisation rend accro!



12 – ExplainShell
Retenir toutes les petites options de toutes les commandes shell est presque impossible.

Explain shell permet de copier/coller n’importe quelle commande est d’avoir une explication complète!

C’est une sorte de commande man mais en plus rapide à lire, plus détaillée et bien présentée dans le navigateur. Tout est expliqué, option par option, dans une belle interface. Très pratique pour rapidement passer en revue tous types de commande.



13 – Squoosh
La plupart des images énormes -en termes de poids- peuvent être réduites de 60% sans perdre en qualité.

C’est exactement ce que fait Squoosh juste en un drop !

Indispensable si tu veux optimiser ton site et la bande passante de tes visiteurs. Et de manière générale des images énormes sont inutiles. Très pratique pour s’en débarrasser rapidement.



14 – Photopea
Celui-là est complètement fou !

Photopea c’est juste Photoshop gratuit dans le navigateur.

Je me retrouve fréquemment à faire des retouches d’images pour diverses raisons. Plus besoin d’avoir les outils cheap de montage gratuit. J’ouvre une page et j’ai accès au top.

C’est très pratique pour faire un truc rapide depuis n’importe où sans installer tout le bordel. C’est bluffant que ça marche aussi bien et que ça soit gratuit !



15 – DevDocs
Ça serait cool d’avoir accès à toutes les docs de tous les frameworks/langages dans un seul endroit bien organisé.

Et bien c’est exactement ça DevDocs.

Hyper pratique pour ne pas passer sa vie sur tous les sites de la terre et avoir 30 tabs ouverts. La vérité c’est que je l’utilise surtout pour un nombre limité de docs, mais c’est quand même pratique de rester sur un seul endroit.



16 – Carbon
Si tu te demandes comment font certains développeurs pour générer des images de leur code hyper jolies, ne cherche plus !

Carbon est tout simplement le générateur de présentations de bout de code le plus utilisé.



Pratique ! L’équivalent en extension VSCode existe aussi.



17 – Hoppscotch
Presque tout le monde connait Postman ou Insomnia pour tester ces APIs.

Hoppscotch c’est exactement la même chose, mais directement dans le navigateur !

C’est très complet, il y a toutes les options que tu peux imaginer et ça peut toujours dépanner pour tester rapidement une api. Postman permet aussi de tester via le web, mais il faut un code et meme une extension du navigateur pour certains appels.

Hoppscotch tu as accès à tout ce dont tu as besoin en un seul clic.



18 – Crontab Guru
Mettre en place un cron peut être extrêmement catastrophique s’il y a la moindre erreur.

Crontab guru permet de valider exactement le comportement de ton futur cron avant de le programmer.

Dans la même veine qu’htaccess tester, fini de transpirer avant d’ajouter ou de mettre à jour des règles avec un impact fort. Tu sais exactement le comportement que ça va avoir avant de pousser quoique ce soit. Très pratique pour aller vite et avoir l’esprit tranquille !



19 – DevTools
DevTools est une suite d’outils pour gagner un peu de temps dans les petites taches de dev de tous les jours.

Encoder/décoder du texte, comparaison de texte, génération de texte, génération d’UUID et plein d’autres mini-outils au même endroit. Au lieu de jongler avec les commandes et les scripts de partout, tu as tout au meme endroit. Copier/coller tu as ton résultat et tu gagnes du temps !



20 – Repl.it
Les éditeurs de codes en ligne comme Codesandbox ou Codepen se limitent au frontend.

ReplIt c’est plus de 50 langages utilisables dans le navigateur gratuitement.

L’endroit parfait pour prototyper des bouts de code backends rapidement. Je l’utilise très fréquemment pour valider une fonction, un bout d’algo ou tout simplement pour vérifier la compatibilité entre deux versions de NodeJS ou Python. Avec un compte gratuit tu peux meme partager tes bouts d’algos !


NSOMONE ABELE Aaron aime ce message

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OSONGO NGONGO ANTOINE
Messages : 18
Date d'inscription : 01/04/2021

Les technologies du web  Empty Par OSONGO. NGONGO Antoine

Jeu 1 Avr - 16:15
Mes ingénieurs j'ai un petit souci du faite que je n'arrive pas à insérer la source, si quelqu'un à trouver une méthode pour le prière de m'aider

Mungolo Nsimba Euréka aime ce message

Ngalamulume kalenga
Ngalamulume kalenga
Messages : 58
Date d'inscription : 31/03/2021
Localisation : Kinshasa gombe

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 16:47
Moi aussi je ne sais pas ça
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NGOMBE TENKE JEDUTHUN
Messages : 35
Date d'inscription : 01/04/2021

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 17:02
Comme l'as dit l'ir munongo, LE WEB DANS LES ENTREPRISES

Le web dans ce milieu s’est avéré être un outil incontournable pendant la dure période de crise sanitaire en rendant possible le travail à distance défiant ainsi toutes les restrictions sanitaires pouvant entraîner une baisse de productivité. Aujourd’hui le concept télétravail bat son plein grâce aux différentes plateformes comme : ZOOM, SKYPE, GOOGLE DOCS, etc...

Pour compléter l'ir, j'aimerais donner le cas de nos frères témoins de Jéhovah. En RDC le confinement n'était pas trop observer comme dans d'autres pays mais nos frères religieux étaient rester en confinement pendant un long moment et pour eux l'application favorable et le plus utilisé était le zoom et de ce fait je dirais qu'il a vraiment été outil Favorable pour les maintenir connecter !

Piter kadjongo, Mungolo Nsimba Euréka, NGOMBE TENKE JEDUTHUN et Eloge ngoy aiment ce message

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Eloge ngoy
Messages : 13
Date d'inscription : 01/04/2021

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 17:18
Je suis d’avis que le web est indispensable comme système et comme outils;en effet
le web permet le partage d'informations à travers le monde et leur échange en utilisant le protocole HTTP. La forme conventionnelle des informations échangées sont des documents au format HTML.

HTTP (abrégé de HyperText Transfer Protocol) est le protocole sous-jacent du web. Cette convention définit comment les messages sont formatés et transmis et comment le serveur HTTP ainsi que le navigateur web doivent réagir aux messages. La convention prévoit par exemple la transmission d´URL entre le navigateur et le serveur HTTP. C'est un des principaux standards du web, le second étant le HTML qui concerne la manière dont les documents sont codés et affichés
Ngoy Kibambi L2/Ia

Mungolo Nsimba Euréka, Madibu Nsata, NSOMONE ABELE Aaron et Eloge ngoy aiment ce message

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Eloge ngoy
Messages : 13
Date d'inscription : 01/04/2021

Les technologies du web  Empty Re: Les technologies du web

Jeu 1 Avr - 17:19
Ngalamulume kalenga a écrit:Moi aussi je ne sais pas ça
J’ai le même problème

Eloge ngoy et Mbala bulombi aiment ce message

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